Une guerre orchestrée ?
Depuis
 le 13 juin 2025, les médias occidentaux ont diffusé des images de 
destructions importantes en Iran et en Israël, attribuées à une 
« guerre » marquée par des bombardements et des tirs de missiles. Mais 
que se passe-t-il vraiment ? Un géopolitologue et historien, fort de 40 
ans d’analyse, avance une hypothèse troublante : « ces destructions 
ne seraient pas le fruit d’un conflit spontané, mais d’un accord entre 
les dirigeants des deux pays pour raser des zones ciblées et 
reconstruire une « nouvelle Jérusalem », un projet à la fois symbolique 
et économique. » Cette thèse, qui évoque une gouvernance planétaire orchestrée par des élites déconnectées, mérite d’être examinée.

La fracture
 consacrée entre les élites et le peuple établie dans les sondages 
récents est l’élément qui m’a conduit à m’intéresser à cette thèse. 
En effet, 65 % des Français considèrent Macron comme un mauvais 
président, 56 % ont honte de lui, et seuls 4 % pensent qu’il mène le 
pays dans la bonne direction. Cette défiance s’étend au gouvernement, 
avec 67 % des sondés déclarant n’avoir aucune confiance en lui et 70 % 
estimant que lui et son gouvernement n’agissent pas dans l’intérêt de la
 population. Ce n’est pas la première fois que de telles hypothèses 
voient le jour, cependant les évènements récents donnent matière à 
réfléchir. Voici pourquoi.
 
La grande majorité, voire 
l’ultra majorité des dirigeants mondiaux, des chefs d’État aux 
responsables des banques centrales, en passant par les patrons des 
trusts pharmaceutiques, agroalimentaires et des GAFAM, semblent agir de concert. Selon certains observateurs de plusieurs horizons, « ils
 formeraient une unité de commandement au service d’intérêts 
supranationaux, potentiellement liés à un petit groupe d’élites 
influentes ». Le traité sur l’Antarctique, signé par tous les pays, y compris la Corée du Nord, quiinterdit l’accès à ce continent,
 illustre qu’une coordination globale est possible même si elle se fait 
rare. Ce n’est pas une preuve définitive, mais un indice troublant.
Ces élites se retrouvent dans des cercles aux « règles et contours opaques »
 comme le Forum économique mondial (Davos), le groupe Bilderberg et le 
Club de Rome pour ne citer que ceux-là. À Davos, des figures comme Klaus
 Schwab discutent de projets comme le « Great Reset », présenté comme une refonte de l’économie mondiale, mais à desein prêt à « servir des agendas de reconstruction post-conflit » m’explique
 un visiteur assidu de Davos. Fort de son expérience à haut niveau dans 
le lobbying et le conseil en management, il ajoute : « beaucoup de 
ces sujets sont discutés en marge de ces forums dans des discussions 
privées, et c’est d’ailleurs l’objet de ces forum de proposer aux divers
 participants d’avoir des groupes de travail ou d’étude en marge des 
grandes messes ». Bilderberg, avec ses réunions confidentielles depuis 1954, réunit politiciens, militaires et financiers, souvent sélectionnés pour « leur loyauté indélébile à des réseaux laissant de coté la méritocratie »
 décrit « l’expert Davossien ». Le Club de Rome, avec ses rapports sur 
la surpopulation, alimente l’idée d’un contrôle démographique, où des 
conflits orchestrés serviraient à « réguler » les masses. Quand Emmanuel Macron parle de « fin de l’abondance » ou Valérie Hayer défend des politiques impopulaires, on aperçoit une élite déconnectée, sélectionnée non pour son bon sens
 qui viserait à défendre les intérêts du peuple, mais pour son 
allégeance à ces cercles qui vise à défendre un agenda qui va trop 
souvent à l’encontre des intérêts des populations.

 
Iran-Israël : destructions ciblées ou mascarade ?
Les
 destructions en Iran et en Israël, attribuées à des missiles ou des 
drones, soulèvent des questions. Pourquoi les cibles ne sont-elles pas des infrastructures stratégiques
 (centrales électriques, postes de commandement), mais des zones 
résidentielles ou commerciales, comme si elles paraissaient promises à 
la démolition ?
À Tel-Aviv, par exemple, les quartiers touchés 
coïncident avec des projets de rénovation urbaine, comme l’a noté le 
politologue Olivier Demeulenaere dans un article du 15 juin 2025 « La guerre entre Israël et l’Iran : une PSY-OP ? ». Il observe que les zones « frappées » à Tel-Aviv correspondent à des plans d’ « évacuation-reconstruction » bloqués depuis des années, gérés par des entreprises liées à des fonds d’investissement mondiaux.
De
 plus, les images diffusées semblent parfois incohérentes : absence de 
cratères typiques de missiles, bâtiments effondrés comme lors de 
démolitions contrôlées, flux en direct montrant des jets, mais pas de 
missiles. Il n’est donc pas impensable, selon deux spécialistes 
israéliens, opposés au régime actuel de Netanyahou, « que des explosifs auraient pu être placés à l’intérieur des bâtiments par des agents locaux » ;
 au même titre que l’effondrement controversée de la septième tour (WTC 
7), le jour des attentats du 11 septembre 2001, ce bâtiment qui abritait
 des archives financières. Cette hypothèse expliquerait le faible nombre
 de victimes : les habitants seraient évacués avant les bombardements à 
but de « destructions ».
 
Les enjeux : une « nouvelle Jérusalem » ?
Pourquoi
 détruire pour reconstruire ? La région Iran-Israël est stratégique : 
gisements de pétrole et de gaz, voies maritimes, et un symbolisme 
religieux unique (lieu saint pour juifs, chrétiens et musulmans). Une 
« nouvelle Jérusalem » pourrait devenir un hub économique régional, 
contrôlé par des multinationales liées aux élites de Davos ou 
Bilderberg.
Les contrats de reconstruction, attribués à des 
promoteurs proches des cercles financiers, généreraient des profits 
colossaux. Le faible cours du pétrole et de l’or, malgré les annonces de
 « guerre », renforce l’idée qu’une mise en scène n’est pas à exclure : les marchés, souvent sensibles aux conflits, semblent indifférents.
 
Les peuples, victimes d’une manipulation ?
Les
 huit milliards d’habitants de la planète, réduits à des 
« consommateurs » ou de la « main-d’œuvre », sont les premières 
victimes. En Iran et en Israël, les habitants des zones détruites 
subissent des déplacements forcés et des pertes matérielles, tandis que 
les médias attisent la peur et la division. Cette stratégie de « diviser pour mieux régner »
 maintient les élites au pouvoir, comme elles l’ont fait depuis 1945, 
orchestrant des crises pour détourner la colère des peuples. 
Aujourd’hui, avec Internet et une prise de conscience croissante, les dirigeants, notamment occidentaux, semblent craindre une ou des révolte(s) telle
 la montée des Gilets jaunes en 2018 qui fit grandement peur au 
président Macron. Les appels répétés d’Emmanuel Macron ou d’Ursula von 
der Leyen à la construction d’une armée européenne visant à extraire 
quelques 850 milliards des européens accompagnés d’une rhétorique de 
type « troisième guerre mondiale » pourraient viser à précipiter les peuples dans un conflit global, étouffant ainsi toute velléité de rébellion.
 
Et maintenant ?
Si cette hypothèse se révèle erronée, la Charte de Munich me rappellera au devoir de publier une réfutation établie sur des preuves solides.
 Mais, les incohérences actuelles – absence de cibles stratégiques, 
images douteuses, silence des marchés – exigent des réponses. 
Les
 citoyens doivent enquêter, consulter des sources alternatives et exiger
 des investigations indépendantes. Les élites de Davos, Bilderberg ou du
 Club de Rome ne rendront pas de comptes sans pression populaire au même
 titre que les administrations rendent de plus en plus difficile l’accès
 aux données; par exemple, sur la mortalité toutes causes avec statut 
vaccinal telle que demandée par Laurent Toubiana et BonSens.org depuis 
bientôt trois ans. Ou même les fameux échanges de SMS entre Von der 
Leyen et Albert Bourla autour de la négociation d’un des plus gros 
contrats de vaccins. S’ils n’ont rien à cacher, alors pourquoi ne montrent-ils pas ces échanges ou les données ? 
Il
 est temps de reprendre notre souveraineté, confisquée par une 
gouvernance qui traite les peuples comme des pions, s’assoient sur les 
règles de droits et la transparence qu’ils invoquent à tout bout de 
champ.
 
Vérité ou manipulation ? Entre Machiavel, Roosevelt et les ambiguïtés de Trump
Entre Machiavel, qui enseignait aux puissants qu’« il vaut mieux être craint qu’aimé », et Roosevelt, qui affirmait que « la seule chose dont nous devons avoir peur, c’est la peur elle-même », il est difficile de choisir. 
Les élites semblent avoir adopté la leçon de Machiavel, utilisant la peur pour diviser et régner,
 donnant l’impression d’orchestrer des crises comme celle entre l’Iran 
et Israël pour servir leurs intérêts. Mais Roosevelt nous rappelle que 
la peur, mal maîtrisée, peut changer de camp.  Ce qui est plus 
inquiétant n'est pas la voix de ceux, les sur-communicants, les accros à
 la communication, qui utilisent ces conflits pour s'exprimer à 
outrance, mais celle de ceux qui œuvrent dans le silence.
La 
« guerre » Iran-Israël est-elle un conflit géopolitique classique ou une
 pièce de théâtre orchestrée par une élite mondiale ? Ce 25 juin 2025, 
au sommet de l’OTAN, Donald Trump a revendiqué la fin de la « Guerre de Douze Jours » entre Israël et l’Iran, affirmant avoir « anéanti
 » la menace nucléaire iranienne tout en niant que les frappes visaient 
des sites nucléaires. Ces contradictions – une guerre terminée en un 
temps record, des destructions sélectives, un cessez-le-feu fragile – 
renforcent les soupçons d’une mise en scène. Qui a œuvré en coulisses 
pour que l'Iran, attaquée, apporte une riposte ?   
Grâce à Internet et à une prise de conscience croissante, les peuples pourraient retourner cette peur contre leurs dirigeants. 
La « nouvelle Jérusalem » des élites deviendra-t-elle leur chute ?
À nous de poser les bonnes questions, d’exiger des réponses et de reprendre notre souveraineté.