jeudi 24 avril 2025

"Virus Covid" la version officielle passe du pangolin au labo de Wuhan. Trump accuse Fauci et la Chine. (article + interview Tocsin)

 

Des informations et des réactions que vous ne lirez pas dans la presse mainstream


Encore un récit bien utile...



Article publié le 22 avril sur Essentiel News, interview sur Tocsin

Après s’être désigné comme sauveur avec le lancement de l’Opération Warp Speed, qui a permis de produire des vaccins “miraculeux” anti-Covid, Trump revient dans le rôle du grand justicier de la pandémie. Au banc des accusés, la Chine, l’OMS, l’ONG Eco Health Alliance, Anthony Fauci, et toute une série d’acteurs que le nouveau Secrétaire à la santé Robert Kennedy Junior avait également dénoncés dans son ouvrage “Labo P4 de Wuhan: que nous a-t-on caché?

Désormais, la thèse officielle est celle d’un accident survenu au laboratoire de Wuhan qui a été dissimulé par le gouvernement chinois et les autorités de la santé mondiale, dont le Dr Anthony Fauci. Ce dernier est coupable d’avoir manipulé l’enquête sur les origines du virus et d’avoir recommandé des mesures sanitaires inutiles et désastreuses.

L’annonce intervient dans le climat de guerre économique avec la Chine et renforce le lobby de la biosécurité. En revanche, les éléments pointant vers une responsabilité propre ou un évènement planifié et orchestré par un “Etat profond” transnational ne font pas partie du tableau. “Le marais à assécher” semble donc bien délimité.

LA vérité selon Trump

Enième bouleversement à Washington: Trump et son équipe imposent une révision du ‘narratif’ Covid. La Maison Blanche vient de modifier son site d’information sur la pandémie de manière radicale. Au lieu d’une page présentant des données, des tests et différents types de mesures sanitaires, on y découvre aujourd’hui le président Trump au milieu d’un titre géant: “Lab Leak”, the true Origins of Covid-19. Ce visuel choc se réfère bien entendu à la thèse selon laquelle une fuite de laboratoire est à l’origine de la pandémie.

La page reprend les éléments du rapport final de la sous-commission chargée de l’enquête sur les origines du virus dans le cadre de la Commission de contrôle de la gestion pandémique, soumis à la Chambre le 4 décembre 2024. En guise d’introduction, on y lit la phrase suivante:

La publication « The Proximal Origin of SARS-CoV-2 » – qui a été utilisée à maintes reprises par les responsables de la santé publique et les médias pour discréditer la théorie de la fuite de laboratoire – a été réalisée à l’initiative du Dr Fauci afin de promouvoir la thèse privilégiée selon laquelle le Covid-19 est d’origine naturelle.

L’argument se décline ensuite en 5 points clés:

  1. Le virus possède des caractéristiques biologiques qui ne sont pas naturelles.

  2. Les données montrent que tous les cas de Covid ont émergé suite à une transmission unique vers l’homme. Cela contredit les épidémies où il y a eu différentes sources de contamination par les animaux.

  3. Wuhan abrite le plus important laboratoire de recherche sur le SRAS en Chine, qui mène depuis longtemps des recherches sur le gain de fonction (modification génétique et aggravation de la dangerosité) dans des conditions de biosécurité inadéquates.

  4. Des chercheurs de l’institut de virologie de Wuhan ont été malades et ont présenté des symptômes typiques du Covid, à l’automne 2019, plusieurs mois avant que l’on ne parle de patients provenant du marché de Wuhan.

  5. Selon presque toutes les recherches scientifiques, s’il existait des preuves d’une origine naturelle, elles auraient déjà été découvertes. Mais ce n’est pas le cas.

Revirement sur les “mesures Covid”

La suite est une série d’affirmations brèves et incisives, incluant la condamnation de plusieurs politiques sanitaires et de leurs auteurs. On y lit par exemple que:

Les confinements prolongés ont causé des dommages incommensurables non seulement à l’économie américaine, mais aussi à la santé mentale et physique des Américains, avec des effets particulièrement négatifs sur les jeunes citoyens. Plutôt que de donner la priorité à la protection des populations les plus vulnérables, les politiques fédérales et étatiques ont contraint des millions d’Américains à renoncer à des éléments essentiels d’une vie saine et financièrement stable.

Ou encore que:

La recommandation de distanciation sociale — qui a entraîné la fermeture des écoles et des petites entreprises dans tout le pays — était arbitraire et non fondée sur des données scientifiques. Lors d’une audition à huis clos, le Dr Fauci a déclaré que cette recommandation «était en quelque sorte apparue toute seule».

Et à propos des masques:

Qu’il n’existait aucune preuve concluante que les masques protégeaient efficacement les Américains contre la Covid-19. Les responsables de la santé publique ont changé d’avis à plusieurs reprises sur l’efficacité des masques sans fournir de données scientifiques aux Américains, ce qui a entraîné une forte augmentation de la méfiance du public.

Les coupables du désastre

Dans ce véritable pamphlet, les coupables sont désignés: en premier lieu la Chine, l’Institut national de la santé et son directeur Anthony Fauci, Eco Health Alliance, la société qui finançait les recherches de gain de fonction et son patron Peter Daszak, mais aussi Joe Biden et son gouvernement, le gouverneur de New York, Andrew Cuomo ou encore les scientifiques et les médias impliqués dans la censure et la manipulation des informations.

Pas de pitié non plus pour l’OMS, dont la réponse est qualifiée d'”abominable échec” (an “abject failure”), parce qu’elle se serait pliée à la pression du Parti communiste chinois. Et le texte en profite d’ailleurs pour rappeler que selon Trump et son gouvernement:

L’initiative visant à résoudre les problèmes exacerbés par la pandémie de Covid-19 — par le biais d’un « traité sur les pandémies » — pourrait nuire aux États-Unis.

En somme, il s’agit non seulement d’imposer avec force une nouvelle vérité officielle sur le Covid, mais surtout d’en faire une arme politique.

Le renseignement en renfort

S’il n’y a pas de grandes révélations, puisque ces conclusions avaient déjà été exposées il y a quelques mois, la force et le ton surprennent. D’autant que ces annonces sont appuyées par le patron de la CIA, John Ratcliffe, qui a ordonné la divulgation d’un rapport de synthèse sur l’origine du Covid, au lendemain du retour de Donald Trump à la Maison Blanche. Dans ce document, l’agence privilégiait la thèse de la fuite de laboratoire, sur celle d’une transmission naturelle par les animaux.

Ratcliffe, qui avait déclaré à la commission sur les origines du Covid que cela lui semblait être la seule explication plausible, répète depuis 2021 que la Chine est coupable d’avoir orchestré une gigantesque opération visant à masquer sa responsabilité dans la pandémie. Selon lui, le CCP aurait procédé à “la destruction de tests médicaux, d’échantillons et de données, à l’intimidation et à l’élimination de témoins et de journalistes, en passant par le mensonge et la coercition des autorités sanitaires mondiales, voire la diffusion de propagande”.

Par ailleurs, 2 autres agences, le FBI et le Département de l’énergie, avaient rendu les mêmes conclusions, mais sans révéler leurs sources. Christopher Wren, le directeur du FBI, avait déclaré que la Chine faisait tout pour entraver l’enquête. Et le Département de l’énergie, qui supervise le programme américain d’armement nucléaire et gère un réseau de laboratoires nationaux, avait rendu un avis similaire.

Tensions renouvelées avec la Chine

Il faut dire que dès le départ, Donald Trump n’a cessé de pointer son rival du doigt, en parlant du Covid comme du “virus chinois”. Dans une interview datée de mai 2021, il dressait le contexte géopolitique de cette obsession à un journaliste de la BBC:

Qu’est-ce qui vous donne un haut degré de confiance dans le fait que le Covid provient de l’Institut de virologie de Wuhan ? Donald Trump :

Je ne suis pas autorisé à vous dire cela, mais poursuivez vos questions.

Monsieur le Président, envisageriez-vous que les États-Unis ne paient pas leurs dettes envers la Chine en guise de punition pour le virus ?

Donald Trump :

Disons que je peux agir différemment. Je peux faire la même chose, et même pour plus d’argent, en imposant des droits de douane. Je n’ai donc pas besoin de recourir à cette solution. Il s’agit d’environ un trillion de dollars, un peu plus si j’ai bien compris, un trillion de dollars. Mais nous pouvons le faire d’une manière, je pense, probablement un peu plus directe. Quand on commence à jouer à ces jeux, c’est difficile. Mais, nous devons protéger le dollar. Nous devons protéger le caractère sacré et l’importance du dollar.

En réaction au rapport du Département de l’énergie américain de février 2023, le ministère chinois des affaires étrangères avait exprimé son vif mécontentement. Son porte-parole Mao Ning avait déclaré que «les parties concernées devraient cesser d’agiter des arguments sur les fuites de laboratoires, cesser de dénigrer la Chine et cesser de politiser la question de l’origine du virus».

La nouvelle doxa sur l’origine du virus s’inscrit donc bien dans ce théâtre politique d’une escalade face à la Chine, avec des perspectives qui dépassent la seule guerre commerciale. Car, si la Chine était accusée d’avoir voulu développer une arme biologique à Wuhan, cela ouvrirait potentiellement la porte à une réponse nucléaire des États-Unis.

La course aux armes biologiques

La saga de l’origine du virus, qui a été décrite de manière très détaillée dans le livre de Robert Kennedy Junior, “Labo P4 à Wuhan: que nous a-t-on caché?”, revêt ici une importance particulière dans la mesure où elle s’attarde sur les expériences de “gain de fonction” menées dans le cadre d’une “terrifiante course aux armes biologiques“, pour reprendre le sous-titre de l’ouvrage.

En exposant de manière passionnante les décennies de recherches visant à développer des armes biologiques, de l’Allemagne nazie aux États-Unis, en passant par le Japon, Kennedy confirme l’importance de cette thématique dans les programmes militaires. Malheureusement, cet éclairage alimente la rhétorique de la menace bioterroriste ou des risques liés à l’utilisation d’armes de destruction massive.

L’on voit déjà comment Trump et ses supporters sont prêts à s’en saisir. Il suffirait de quelques nouveaux rapports de la CIA pour lancer de telles accusations et enclencher des logiques guerrières, ou à tout le moins leur financement massif. Pourtant, il ne faudrait pas grand chose pour calmer le jeu. Si l’on investit bien des montants astronomiques dans ce type de recherches, cela ne signifie pas que la menace soit aussi importante qu’on ne le prétend.

C’est en tout cas l’avis du prof. Martin Zizi, ancien expert en armes chimiques et biologiques auprès du Conseil de sécurité de l’ONU durant 15 ans. À l’entendre, la possibilité de concevoir des armes biologiques pour créer des pandémies est quasi nulle, et cela pour plusieurs raisons. Tout d’abord, si le fait de manipuler un virus dans un laboratoire n’est guère compliqué, en faire une arme de destruction massive efficace que l’on peut contrôler à l’échelle planétaire est particulièrement difficile. Ensuite vient la difficulté de se protéger soi-même des conséquences de cette arme (il serait bien plus simple d’utiliser des vaccins qui permettent de sélectionner et limiter les cibles). Enfin, il est assez aisé de détecter une trace biologique de ce type d’armes, ce qui ouvre la porte à une réplique par l’utilisation d’armes de destruction de masse.

D’un narratif à l’autre

La version “chauve-souris et pangolin” servait l’agenda d’un gouvernement mondial protecteur face à un ennemi insaisissable composé de virus, de chaleur et de carbone. C’est le récit qui promeut la surveillance et le contrôle des populations par l’anticipation de menaces communes invisibles. L’on parle ici des politiques de l’OMS et des agences onusiennes telles: “une seule santé”, “la santé liée au climat”, “le traité pandémie” ou le passe sanitaire.

Le manque d’enthousiasme des peuples à la démesure de ce projet devait fatalement conduire à acclamer sa version contraire (accélérer).

La présentation de la saga du “supervirus expérimental venu du laboratoire de l’ennemi” correspond à la réaction en miroir. Ici, plus question de noyer l’individu dans la masse du “one world” contre le virus, ni de mettre l’accent sur le bien commun. C’est le versant complémentaire qui prend le relais: celui où chacun est clairement identifié. Le héros agit en surhomme pour défendre ses intérêts propres, face à des ennemis nommés comme tels. C’est Trump contre Fauci, Daszak, Cuomo et l’OMS ou même la Chine toute entière.

Ce ne sont pas les traités de l’OMS ni ‘le consensus scientifique’ qui imposeront leur loi, mais “celui qui a été élu”.

Cette fois la stratégie accélérationiste, qui vise à “démolir pour mieux reconstruire” un nouvel ordre mondial, se déclinera sous d’autres motifs: la nécessité de sauver le dollar et l’hégémonie américaine face aux BRICS et à la concurrence chinoise, et le besoin de durcir le ton face à des nations hostiles, quitte à provoquer une 3ème guerre mondiale.

La version manquante

Plusieurs éléments manquent au nouveau “narratif” pour qu’il soit réellement inspirant.

Tout d’abord une tentative, une once de mea culpa ou de prise de responsabilité personnelle de la part de Trump, qui a toutes les circonstances atténuantes d’avoir été trompé, aurait été de bon ton. Ou faut-il se contenter d’admirer le tour de force qui consiste à se poser en justicier pour dénoncer des politiques que l’on a soi-même approuvées?

Car, s’il veut réellement s’opposer à l’État profond qu’il prétend combattre, Trump a ici tous les éléments nécessaires et l’occasion rêvée pour le faire. A titre d’exemple, il peut citer le rôle de Bill Gates et d’un nombre d’acteurs impliqués dans la “planification” des pandémies comme Robert Kadlec ou des compagnies mafieuses comme Emergent Biosolutions.

Il peut déconstruire la notion même de pandémie, en dénonçant la supercherie des tests PCR en provenance d’Allemagne et en expliquant qu’il s’agit d’une fausse menace. Et il peut même en profiter pour retirer du marché les fameux vaccins Covid, en disant qu’on lui a caché les traitements existants, efficaces et bon marché et que la pandémie est finie.

Mieux encore, il peut pointer du doigt les géants de la finance et les banquiers centraux qui se sont réunis le 22 août 2019 pour approuver le plan de Blackrock et lancer le grand reset économique “de la prochaine grande crise/pandémie en arrivage” (le plan monétaire lié à la pandémie est connu sous le nom du “Going down reset“).

Et, dans ce monde parallèle, Trump pourrait même renvoyer la balle vers la communauté scientifique en lui demandant de prouver l’existence du virus Sars-cov-2… et de tous les autres. Histoire d’avoir la paix pendant la suite de son mandat.

Pourquoi pas? Puisque Trump peut tout.

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Lab Leak : « Tout a été caché par Anthony Fauci avec une série de complices ainsi que l’OMS »


 

Interdisons les PFAS à la source !

Les PFAS – prononcé « Piface » et acronyme d’alkyls perfluorés et polyfluorés – désignent une famille de 4700 produits chimiques de synthèse.

Le robinet des PFAS doit être fermé, sans exception. Les PFAS présentent une multitude de risques sanitaires scientifiquement établis. Affaiblissement de notre système immunitaire, problèmes de fertilité, … cette liste ne cesse de s’allonger!

Les coûts de santé et les souffrances humaines occasionnés par l’amiante et le DDT au cours des dernières décennies devraient nous inciter à appliquer le principe de précaution et endiguer la propagation des PFAS sans tarder.

Nos décideurs politiques doivent protéger notre santé: leur responsabilité est claire!


Les PFAS sont dangereux et doivent être interdits

Sans rentrer dans les détails de leur composition chimique, les PFAS – prononcé « Piface » et acronyme d’alkyls perfluorés et polyfluorés – désignent une famille de 4700 produits chimiques de synthèse.

On en retrouve un peu partout : ustensiles de cuisine antiadhésifs, emballages alimentaires, peintures, textiles, cosmétiques, produits d’entretien, mousses ignifuges, produits électroniques, fil dentaire… Leurs propriétés ? Ils résistent à l’eau, à l’huile, à la graisse, à la chaleur, sont non-tachants, …

Le problème, c’est que les PFAS sont « indestructibles » dans l’environnement et dans l’organisme. Ils font partie des « produits chimiques éternels ». Dans les PFAS, les liens entre les atomes de fluor et de carbone sont tellement forts qu’ils rendent presque impossible leur dégradation.

Ces substances sont facilement solubles dans l’eau et se retrouvent vite dans nos sols et eaux souterraines, … En plus d’être transportées par l’eau, elles sont facilement véhiculées par l’air. Au-delà de leur diffusion dans l’environnement (air – sol – eau), nous y sommes exposés dès qu’on utilise un produit qui en contient !

En s’accumulant dans l’organisme, ils peuvent également entraîner des problèmes de santé tels que des lésions hépatiques, des maladies thyroïdiennes, de l’obésité, des problèmes de fertilité, des cancers (reins, testicules, …), une mauvaise élimination du cholestérol, une perturbation des fonctions endocriniennes et immunitaires, …

Toutes ces particularités font qu’il est nécessaire de limiter à la source les pollutions de PFAS dans l’environnement si nous souhaitons réduire les risques sanitaires associés. Certains ont déjà fait l’objet d’interdiction (PFOA et PFOS) mais il demeure plusieurs milliers de substances appartenant aux PFAS qui se répandent dans l’environnement.

Le problème s’aggrave de jour en jour et il est grand temps que nos décideurs politiques prennent leur responsabilité en fermant le robinet des PFAS, au nom de notre santé!
Que faut-il faire ?

Toutes les sources de PFAS nocifs pour notre santé et pour l’environnement doivent être éliminées. L’industrie chimique doit s’engager à trouver des alternatives plus sûres et plus durables. Nos décideurs politiques doivent prendre des mesures fortes pour remettre les industries dans le droit chemin:

    La Belgique doit voter en faveur d’une interdiction européenne de tous les PFAS dédiés aux usages non-essentiels (*)
    La Belgique doit travailler à l’élaboration d’un plan national de substitution et d’élimination progressive qui remplace les PFAS dans les produits de consommation par des alternatives sûres.

*Les dérogations ne sont possibles que pour les « utilisations essentielles », c’est-à-dire les utilisations cruciales pour la santé, la sécurité, le bon fonctionnement de la société, et pour lesquelles il n’existe actuellement aucune solution de remplacement. Ces dérogations doivent être limitées dans le temps et faire l’objet d’un réexamen régulier.
Votre voix compte !

Voulez-vous contribuer à mettre fin à la pollution par les PFAS ? Voulez-vous protéger votre environnement et vos proches des risques pour la santé que représentent plus de 4 700 PFAS ?

Signez notre pétition pour exiger de nos décideurs politiques qu’ils s’engagent à interdire les PFAS à l’échelle européenne et qu’ils continuent à travailler sur une politique wallonne et fédérale ambitieuse pour éliminer progressivement les PFAS de notre environnement. Faites entendre votre voix et rappelez aux gouvernements leur responsabilité de protéger notre santé. Le robinet des PFAS doit être fermé !
Oui, je veux signer la pétition
Oui, je signe la pétition
Je veux que le Belgique élimine progressivement les PFAS !

Signez la pétition : rejoignez-nous pour demander aux gouvernements de fermer le robinet des PFAS. Ces substances nous exposent à de sérieux problèmes de santé (affaiblissement du système immunitaire, augmentation du cholestérol, lésions hépatiques, risque de fausse couche, perturbations hormonales, cancers,…). Le gouvernement doit agir pour protéger notre santé et notre environnement des effets nocifs de ces produits chimiques.