mardi 4 août 2020

Belgique, masques et confusion entre tests positifs (dits « cas ») et vrais malades. Dommage !


 Publié le 03/08/2020 à 14:40 - Mise à jour à 15:30
Belgique
Pixabay
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  • Auteur(s): Dr Gérard Delépine pour FranceSoir
    TRIBUNE : Les responsables belges sont-ils encore plus fous que les français ?  L’erreur est humaine, mais la persévérance dans l’erreur est diabolique        

    La Belgique a le triste privilège de la plus forte mortalité Covid19 du monde, mais au lieu de s’interroger sur le bien-fondé de leur politique sanitaire passée (confinement aveugle et refus du traitement efficace par chloroquine) leurs autorités persistent dans leurs erreurs et leur attitude dictatoriale sous prétexte d’une augmentation des taux de contaminations qui ne sont que la comptabilisation des tests positifs de signification mondialement reconnus comme douteux.[1] [2] [3]

    Rappel du début de l’épidémie Covid19 en Belgique
    Les autorités sanitaires belges ont cru aveuglément les prédictions apocalyptiques de l’OMS et de Ferguson, suivant en cela les tristes décisions de la France et imposé très tôt un confinement policier sévère à leur population contrairement à leurs voisins néerlandais. Les conséquences sur la mortalité seront tragiques en France, en Italie et évidemment en Belgique.
    Ce confinement a été suivi d’une augmentation rapide des infections alors que leurs voisins (Pays-Bas), non confinés, bénéficiaient une progression moins rapide et moins importante qu’eux.
    Cette augmentation brutale des contaminations survenue 8 à 10 jours après le confinement belge s’explique par la non-séparation des infectés de la population saine[4], ce qui est un contre-sens sanitaire incroyable (idem France, Italie). En Italie ils ne séparaient pas dans les salles d’attente les malades qui toussaient ou étaient fébriles. Des heures durant, les personnes présentes se contaminaient allègrement à une époque où le virus était virulent (ce qui n’est plus le cas actuellement). Quelle fut la situation en Belgique dans les consultations ?
    L’astreinte à résidence des infectés avec les autres constitue en effet le meilleur moyen d’infecter les sujets sains comme l’ont confirmé récemment les exemples du Diamond Princess et des porte-avions américains et français[5].
    Cette surcontamination liée au confinement a été suivie d’une surmortalité d’autant plus forte que, comme en France, les autorités ont empêché les médecins de traiter les malades pour des raisons que les Belges voudront un jour éclaircir.[6]
    D’après l’OMS, au 28 juillet 2020, les belges déplorent 848 morts liés au covid19/million d’habitants, alors que leurs voisins néerlandais n’en comptent que 359/million d’habitants et que les pays asiatiques qui n’ont pas confiné leurs populations et utilisé la chloroquine précocement peuvent s’enorgueillir d’une mortalité inférieure à 10/ million d’habitants[7]. Et tous ces pays ne pâtiront pas de la surmortalité liée à l’absence de soins et aux troubles psychiatriques que nos gouvernants songent déjà à mettre sur le dos du covid. Non eux seuls et leurs mesures délétères en portent la responsabilité.
    Mais plutôt que de tirer des leçons de leur triste expérience, les autorités belges et leurs politiques continuent de croire contre toute vraisemblance scientifique à l’efficacité du confinement aveugle et n’ont que cette mesure contre-productive à proposer à leur population. Comment réagissent les Belges ?

    Y-at-il une reprise de la maladie ?
    Une maladie existe lorsqu’elle entraîne des malades, des personnes qui souffrent de signes cliniques, qui nécessitent des soins, des hospitalisations, voire des morts. Or, lorsqu’on consulte les données officielles de l’’institut belge de santé Sciensano, on constate depuis 3 mois une baisse continue du nombre des entrées à l’hôpital pour Covid19, qui se situe très bas depuis plus de deux mois.
    De même que le taux d’entrée en réanimation est très bas, avec une incidence très faible depuis la mi-juin.
      
    De même que la mortalité, devenue infime
    Le nouveau critère d’alarme mondial trompeur : « les cas » en lieu et place des vrais malades
    Au début de l’épidémie, lorsque les tests auraient pu éventuellement être utiles pour dépister les sujets contagieux et les mettre en quarantaine, seules les personnes les plus atteintes pouvaient les faire pratiquer.
    Maintenant que l’épidémie a quitté l’Europe, le lobby de la peur base sa campagne d’entretien de la terreur sur ces tests non fiables et les multiplie à foison pour que « les cas » augmentent.  En France par exemple, le gouvernement joue le même jeu mensonger inspiré probablement par une entente mondiale entre les responsables (oserais-je dire nouvel ordre mondial que le président Sarkozy appelait déjà de ses vœux et que le président actuel revendique ?). Mais si on regarde le pourcentage de contaminations dépistées par tests (la date de contamination est inconnue et peut dater de nombreuses années via un cousin du coronavirus de l’année), on démontre via les chiffres officiels de l’agence française santé-France que ce % ne bouge pas. On augmente le nombre de testés mais pas le % de positifs. Intéressant !
    Créer la confusion pour entretenir la peur
    Gouvernement et médecins trop liés à l’industrie pharmaceutique ne parlent donc plus de malades, d’hospitalisations, d’entrées en réanimation ou de morts mais de « cas », de tests positifs. Ils créent volontairement la confusion entre la positivité des tests au virus et le fait d‘être malade.  Ce qui est grave pour les naïfs testés qui se croient malades et courent de consultations en hôpitaux pour obtenir un traitement inutile pour un rhume, d’il y a quelques années le plus souvent. Manipulation honteuse des peuples à travers le monde.

    Les porteurs de traces du SARS-CoV2 (ou de virus proches) sont relativement nombreux, les malades du Covid-19 le sont beaucoup moins car la plupart des porteurs de virus actuellement dépistés ne souffrent d’aucun symptôme et, dans ces conditions, ne peuvent transmettre que très exceptionnellement voire jamais la maladie.
    Si l’épidémie progressait, le pourcentage de tests positifs dans la population devrait augmenter. Or ce n’est pas le cas.
    Des tests positifs ne correspondent pas à des malades et peuvent n’être que la trace d’une rencontre plus ou moins ancienne avec un virus de la même famille que le coronavirus actuel (résidus d’ARN etc.).

    Le drame d’Anvers
    Sous prétexte d’une augmentation des cas de tests positifs, ils viennent de décider de reconfiner Anvers et quelques localités qui ont eu le malheur d’être testées plus que les autres et ainsi de révéler des contaminations asymptomatiques. 
    Drame politique par mensonges, économique par blocage des échanges et détérioration de la santé mentale d’un peuple avec décompensation pour certains, suicides, délires, violences. La population acceptera-t-elle longtemps de se faire infantiliser, d’autant qu’elle va finir par constater directement par elle-même qu’il n’y a plus de malades.
    Malgré tout, les menteurs ne manquent pas de ressources : le diagnostic actuel de toutes les infections et affections respiratoires (autres grippes, infection bactérienne, allergie respiratoire, voire affections cancéreuses avec localisation pulmonaire primitive ou secondaire) reste « covid » et il y a encore beaucoup de victimes de désinformation ! Ainsi peut-on lire sur tweeter ‘ma voisine est morte de covid cette nuit, donc portez le masque ». Curieux ces conclusions sur un cas sans autopsie, ni même histoire clinique, antécédents, alors même que le PR Raoult aurait dû aligner des milliers de malades tirés au sort (donc la moitié sacrifiée) pour être cru…

    Les médecins belges devraient parler, ils se sentiraient mieux
    Il est urgent que les médecins belges (et français) rejoignent les collègues étrangers qui en ont assez de se taire, de voir mourir leurs patients sur interdiction du traitement efficace connu depuis fin février grâce aux vidéos du Pr Raoult et de ses collègues.
    Comme les mêmes causes produisent habituellement les mêmes effets, on peut craindre que ces nouveaux confinements risquent d’entraîner une accélération des contaminations, probablement peu dangereuses, vu la mutation du virus vers l’atténuation de sa virulence, mais surtout de la crise économique et psychique[8] et médicale. Tant de malades non soignés, non opérés, non dépistés pour cause de covid vont-ils être à nouveau privés de soins. Les médecins belges rejoindront-ils bientôt les collègues allemands, espagnols, américains qui crient au mensonge, à l’abandon des malades voire à leur euthanasie imposée et surtout au refus du traitement mondialement reconnu efficace, l’association chloroquine-azithromycine.[9] [10]
    Tout cela parce que les dirigeants belges comme français se laissent guider par des simulations fausses[11] ou des pressions internationales, au lieu d’appliquer les règles médicales forgées par l’expérience des épidémies anciennes et aussi de celles des pays asiatiques qui ont vaincu l’épidémie sans confinement aveugle : informer loyalement, dépister, isoler, traiter. Il est possible encore de résister comme l’exemple du gouvernement suédois vient encore de nous le rappeler.
    Comme l’aurait expliqué William Henry, dit Bill Gates, en 1990 « l’erreur est humaine mais un véritable désastre nécessite un ordinateur ».
    Espérons que la raison prévaudra en Belgique avant que de trop nombreux morts ne surviennent.
    La Belgique étant la Belgique, on finira sur une anecdote savoureuse : « Luc et Stijn habitent tous les deux dans la Bormstraat à Willebroek. Depuis hier, les deux hommes sont pourtant confrontés à une situation pour le moins spéciale, comme le rapportent nos confrères du Nieuwsblad. Alors que Stijn doit obligatoirement porter un masque buccal pour se balader de son côté de la rue, Luc, lui, ne doit pas en porter du sien. Cela s’explique par le fait que la Bormstraat traverse à la fois la province d’Anvers et celle du Brabant Flamand. Or, on le sait, Anvers a décidé de prendre des mesures drastiques pour lutter contre la recrudescence de l’épidémie de coronavirus.[12] »

    Le Team Apocalypse est-il roi en Belgique ?
    Le team Apocalypse sévit en Belgique malgré une chute des hospitalisations et des décès en rapport avec le covid. Malheureusement les mesures prises le 27 juillet sont liberticides et injustifiées : 
    La Belgique durcit ses mesures sanitaires face à la hausse des cas de #COVID19 :  faire ses courses seul et en 30 minutes. Ne fréquenter que les 5 mêmes personnes au cours des 4 prochaines semaines. Télétravail si possible.[13]
    Pas d’angoisse, il existe un traitement à exiger de vos médecins, le protocole Raoult et dérivés
    Tout ça pour ça ! Répétons qu’il ne s’agit que de « cas » et pas de malades et que de toute façon la Belgique devrait savoir qui si malades il y avait, il faudrait tout simplement les soigner en début de symptômes avec l’association chloroquine azithromycine et zinc, comme le proclament des milliers de médecins allemands, américains, espagnols et bien d’autres qui se rallient à leur collectif. S’ils refusent, il faudra leur expliquer le concept juridique de perte de chances de survie et de non-assistance à personne en danger.[14]

    L’épidémie est terminée et aucune vague à l’horizon ! La peur doit disparaitre au profit du traitement des malades quand ils existent par des médicaments efficaces peu dangereux et peu chers. Trop simple ? La Belgique est -elle sous l’influence de big pharma autant que la France ?

    [3]https://www.youtube.com/watch?v=xsJToXqrHoY  his is a 15-minute presentation [extracted from a longer debate] by former full Professor of Physics, Denis Rancourt on the randomised controlled studies on masks, illustrating that masks are ineffective in preventing viral transmission. 29/07 /2020
    [4] Appelée aussi quarantaine et qui constitue depuis toujours la seule mesure non médicamenteuse qui ait fait ses preuves avec l’hygiène.
    [5] A bord du Charles de Gaulle 70% des marins totalement confinés dans cet espace parfaitement clos ont été infectés. Heureusement ils furent tous guéris, sauf un encore en réanimation il y a quelques jours. Ont-ils reçu de la chloroquine comme cela fut dit initialement et contredit tardivement par la ministre… On sait que l’armée a acheté des provisions impressionnantes de chloroquine et que même l’ex-ministre Agnès Buzyn a avoué en avoir prescrit à l’hôpital militaire de Percy. Au jeu des mensonges, on se perd.
    [7] Corée 6/ million d’habitants, Japon 8/ million d’habitants, Singapour :5/ million d’habitants, Malaisie :4/ million d’habitants
    [11] Celles de Ferguson et de ses élèves dont les calculs sont justes mais qui reposent sur des hypothèses grossièrement fausses.
    [13] https://leparisien.fr/societe/sante/coronavirus-les-belges- devront-faire-leurs-courses-seuls-et-en-30-minutes-27-07-2020-8359509.php »

    Les cercles de réenchantement, c'est pour bientôt... par Jean-Jacques Crèvecoeur

    Confinement, traitement : Où en est on avec le COVID19 ?


    La soumission à l'autorité



    On doit cette célèbre expérience à Milgram.


    Cette expérience a été maintes fois reproduite dans de nombreux pays et les résultats sont toujours aussi convaincants que ceux de Milgram.

    Cette expérience peut donner des pistes de réflexions sur ce qui peut amener des personnes à torturer (ici par des chocs électriques) d’autres personnes et cela, non pas du fait de leurs caractéristiques individuelles mais du fait d’un contexte spécifique.
    Pour cette expérience, 600 Sujets étaient recrutés par annonce de presse parue dans la publication locale de la ville de New Haven.
    L’expérimentation se déroulait dans un luxueux laboratoire de l’université de Yales.

    La procédure est simple :

    On fait croire aux participants que l’on réalise une expérience sur la mémoire et que l’on cherche à tester les effets de la punition sur le processus d’apprentissage. Le sujet tire "au hasard" un papier sur lequel est inscrit le Rôle qu'il tiendra durant l'expérience (le tirage au sort est truqué, il sera forcément le professeur). On demande donc au sujet naïf qui sera obligatoirement dans le rôle du professeur, de faire apprendre des paires de mots (comme « chapeau – ballon ») à son élève qui est en fait un compère (complice de l'expérimentateur).

    La consigne est simple :

    Si l’élève donne une mauvaise réponse, le professeur (sujet naïf) doit lui administrer un choc électrique croissant de 15 volts à chaque erreur et cela de 15 jusqu’à 450 Volts où il est d’ailleurs indiqué « danger ».
    Bien sûr, les chocs électriques ne sont pas réels mais ce qui est important c’est qu’ils le sont pour le sujet naïf.
    L’expérimentateur habillé de sa blouse blanche n’a le droit de dire que quelques phrases telles que :
    « vous devez continuer » ou « il faut continuer » ou « continuez » ou « l’expérience veut que vous poursuiviez » ; pour mettre quelques variantes.
    Milgram avait fait une petite enquête au préalable auprès de « professionnels du comportement humain » comme les psychiatres, les étudiants diplômés ou encore les professeurs de sociologie.
    Tous semblaient unanimes pour dire que la plupart des sujets allaient se montrer désobéissant et ne pas administrer les chocs ; à l’exception de quelques cas pathologiques, ne représentant que 1 à 2 % de la population, qui assouvirait leurs pulsions agressives.

    Les résultats vont donc être bien loin des attentes

    Le tableau ci-dessous représente le % d’individus allant au choc maximal et mortel de 450 Volts, ainsi que les moyennes des chocs électriques délivrée selon la plus ou moins grande proximité de la victime (l’élève)

    Le sujet ne sait pas si il va devoir jouer le rôle du professeur ou celui de l'élève

    Le sujet sait que le tirage au sort est truqué et qu'il jouera le rôle de l'élève

    Sujet naïf

     Sujet compère

    Différentes variantes ont été réalisées et exposées pour la plupart ci-dessous:

    % de sujets allant jusqu'à 450 volts
    Moyenne des chocs électriques délivrés

    Expérimentation 1

    La "victime", l'élève n'est pas dans la même pièce que le professeur (sujet naïf), à 300 volts, le compère (enregistrement audio) tape sur la cloison pour protesterb et ne donne plus de réponse à partir de 350 volts
     fleche65% fleche405 Volts

    Expérimentation 2

    La situation est la même mise à part que les cris de douleurs sont clairement entendus au travers de la cloison
     fleche 62.5% fleche370 Volts

    Expérimentation 3

    La "victime" est dans la même pièce que le sujet naï, il est donc vu et entendu
     fleche 40% fleche310 Volts

    Expérimentation 4

    Il y a contact physique entre "victime" et sujet naïf puisque ce dernier doit le contraindre par la force à ce qu'il pose ses mains sur une plaque sensée délivrer des chocs électriques
     fleche 30% fleche270 olts
    Ces résultats sont assez effrayants et mettent en évidence le poids très important de l’autorité ; ici symbolisée par la blouse blanche du médecin, les locaux de Yales...
    On peut d’ailleurs voir avec les résultats suivants que, sans l’Autorité, il n’y a pas de soumission possible.

    % de sujets allant jusqu'à 450 volts

    Moyenne des chocs électriques délivrés
    Si le sujet naïf est une femme fleche65%fleche 370 Volts
    Absence de l'expérimentateur (garant de l'autorité)fleche 20.5% fleche275 Volts
    L'expérience était réalisée hors de l'université fleche47.5% fleche315 Volts
    Le sujet naïf a le choix du niveau de choc fleche2.5% fleche82 Volts
    La hiérarchie apparaît indispensable à tous processus d’obéissance.
    L’individu qui entre dans un système d’autorité ne se voit plus comme l’acteur de ses actes ; contraires à la morale, mais plutôt comme l’agent exécutif des volontés d’autrui. Il va attribuer la responsabilité à l’autorité.

    % de sujets allant jusqu'à 450 volts 

    Moyenne des chocs électriques délivrés
    C'est la "victime" qui demande les chocs, l'autorité s'y opposant fermementfleche  0% fleche150 Volts
    Absence de l'expérimentateur. L'ordre est donné par un compère sensé être une personne comme le sujet naïf fleche 20% fleche245 Volts
    2 expérimentateurs s'opposent: l'un dit de continuer, l'autre est contre fleche 0%fleche 150 Volts

    Milgram nous dit que l'individu passe de l’état autonome (on est déterminé de l’intérieur) à l’état agentique (l’individu se sens comme un rouage d’une volonté qui est extérieur à la sienne)

    Comment se fait ce passage et quels sont les facteurs de maintenance ?

    Conditions préalables générales :

    • La famille
    • Le cadre institutionnel
    • Les récompenses

    Conditions générales spécifiques :

    • Il faut que les sujets perçoivent l’autorité comme légitime
    • L’expérience est présentée comme scientifique (idéologie du scientisme)

    Conséquences :

    • Perte du sens des responsabilités
    • L’image de moi m’est donnée par l’autorité qui valorise l’obéissance
    •  Je vais être le siège d’une tension car je répugne à faire souffrir autrui

    Façons de résoudre les tensions :

    • La dérobade comme si on n’entendait plus les cris de l’autre
    • Les manifestations psychosomatiques
    • La désapprobation ; « je ne suis pas d’accord » mais je le fais quand même
    • La  désobéissance qui ramène à l’état autonome

    Facteurs de maintenance dans l’état agentique :

    • La continuité de l’action ; « la main dans l’engrenage »
    • Contrat moral, règles du jeu

    Mais d’où l’expérimentateur détient-il son pouvoir ?

    Il n’a aucun réel moyen de coercition.
    Le pouvoir est une notion éminemment politique et il faut se tourner vers les appareils idéologique d’état : Ensemble d’institutions publiques et privées qui élaborent, inculquent le système de norme et qui a pour fonction la reproduction des rapports sociaux existants.
    Pour conclure, l’individu est en fait habitué à obéir et à recevoir des récompenses pour cela que ce soit dans le domaine scolaire, familial ou professionnel. La société inculque à l’enfant et dès son plus jeune age un profond respect de l’autorité.
    Le sujet de Milgram ou Monsieur tout le monde agit contre ses convictions et en souffre. Cependant, il va se conformer à ce qu’on attend de lui.


    Interview de Coluche et Balavoine sur la crise planétaire actuelle


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