mardi 29 septembre 2020

La Bajon a attrapé le Coronavirus... ça vaut le détour :-)


[Coronagates...1er avril ?] Bientôt des «badges corona»? Plus de la moitié de la population y voit un intérêt

Bientôt des «badges corona»? Plus de la moitié de la population y voit un intérêt

Plus de la moitié de la population serait stimulée par des « badges corona » avec des messages épinglés tels que « 1,5 m toute la journée éloigne le virus ! ». C’est ce qui ressort d’un rapport de l’UGent transmis à la Celeval, la cellule d’évaluation fédérale, qui se réunit mardi. « Les badges indiquent que vous êtes vous-même motivé », explique Maarten Vansteenkiste, psychologue comportemental à l’université gantoise, « et peuvent jouer un rôle de lien social et susciter un comportement ’coronaproof’ chez ceux qui les voient ».

Un badge corona contient un message que les citoyens peuvent épingler sur leur manteau ou leur pull. La philosophie de base est ici que les citoyens se tiennent mutuellement en alerte. Selon 52 % des personnes interrogées, soit 4.877 personnes au total, un tel insigne les inciterait à respecter les règles. « De cette façon, une vigilance collective est créée, où nous nous encourageons ou nous nous responsabilisons pour suivre les mesures liées au coronavirus », pense Maarten Vansteenkiste.


Cette pression de groupe explicite pourrait avoir des effets positifs sur notre comportement, estiment les chercheurs. Toute personne qui arbore un badge s’associe ainsi à un projet social commun. Mais celui-ci suscite également le comportement souhaité de la part des spectateurs et communique un engagement social.

De cette façon, ceux qui portent un badge n’ont plus besoin de signaler verbalement aux autres qu’ils ne respectent pas la distance physique. « Alors que beaucoup sont réticents à signaler les mesures aux autres, cela est moins nécessaire de cette façon ou cela peut être fait de façon plus ludique plutôt que condescendante ou pédante », interprète le psychologue comportemental.
Selon lui, les badges peuvent être diffusés sous toutes sortes de formes et de couleurs et les slogans peuvent être assez drôles.

Seul un tiers des personnes interrogées ont cependant indiqué qu’elles porteraient effectivement un tel badge. L’idée n’a-t-elle pas d’avenir ? « Plus le port s’impose et devient la norme, plus ce comportement protecteur contre le coronavirus est encouragé », peut-on lire dans le rapport. « Les badges peuvent donc jouer un rôle social. »

dimanche 27 septembre 2020

Le Panel - Une discussion sans restriction

Le Panel - Une discussion sans restriction Dans cette émission nous vous présentons un panel extraordinaire dans lequel nous retrouvons : - Des échanges - Des opinions - Des discussions et tout ça sans aucune restriction ! Bonne écoute ! l'Équipe ThéoVox

QR Code... Mon enfant n'est pas un numéro

  • Lettre ouverte à mes responsables politiques
    Nos enfants fréquentent l’école communale Marcel Thiry, à Mehagne. En ce début d’année pour le moins chahuté, la commune de Chaudfontaine a troubon de mettre en place un nouveau système de prise des présences lors de l’accueil extra-scolaire de toutes les écoles dont elle organise l’enseignement : on ne note plus le nom de l’enfant. On scanne son QR code personnel. Gain de temps. Facturation automatique. CQFD.
    Mesdames, Messieurs les élus,
    Mesurez-vous les implications insidieuses de la mise en place d’un tel système chez nos enfants ?
    Avant même de vous demander de réfléchir à la lourde symbolique d’associer clairement un code à un individu dès l’enfance, pouvez-vous d’abord chiffrer la perte d’emploi générée à moyen terme par cette merveilleuse technologie ? Soyez un minimum honnêtes : l’objectif premier, il est là. C’est vrai, les mesures actuelles ne précarisent pas encore assez de monde, numérisons ce qui peut l’être pour rationaliser le peu d’emploi public qui reste ! Que votre progrès et l’économie qui va avec passe par la déshumanisation de nos enfants semble hélas peu vous importer...
    Dire son nom ou se faire scanner, quelle différence ? 
    Peut-être aucune dans le monde que vous désirez mettre en place. Dans le monde d’aujourd’hui pourtant, celui dont l’humanité s’accroche dans des gestes infimes de solidarité et de partage, celui qui nous fait tenir malgré les bourrasques actuelles, celui auquel je veux croire pour mes enfants, dire son nom permet d’exister, de se construire, de se réfléchir. A trois ans, quand nos petits rentrent à l’école, dire son nom, c’est se reconnaître une identité propre, loin de maman et papa, membre d’une communauté. A douze ans, quand ils sont presque prêts à quitter cette première école, dire son nom, jour après jour, c’est se forger une personnalité avant d’aborder le monde un pas plus loin.
    Tous les jours, dans vos garderies (qui sont d’ailleurs souvent fantastiques, gérées par des gens motivés et positifs que je veux défendre), des centaines d’enfants disent leur prénom et leur nom, face à face avec un adulte qui les reconnaît, leur sourit (même si pour l’instant c’est derrière un masque) et note leur présence au sein du groupe de leurs pairs. Ce geste vous paraît anodin ? Il ne l’est pas. Il fonde comme tant d’autres détails notre société. Cette parole d’affirmation de soi, cet échange, vous décidez, sans concertation, de le remplacer par une action mécanique et sans âme. Nos éducateurs n’auront plus à chercher le visage de l’enfant mais son QR code. Ils n’auront même plus besoin de savoir comment il s’appelle. Et même si je veux croire que l’équipe en place n’oubliera pas pour autant le nom de mes enfants je sais que les nouveaux venus, noyés sous la gestion de ce type de tâches perdront jour après jour le contact humain qui est la substance même d’un accueil extra-scolaire digne de ce nom. 
    Les technologies qu’on vous vend, Mesdames, Messieurs les élus, sur le terrain, nous sommes bien placés aussi pour savoir qu’elles font certes gagner du temps mais, de un, quand elles fonctionnent (et souvent, ça ne fonctionne pas et après c’est pire) et de deux, quand on ne profite pas de ce gain de temps espéré pour nous charger d’autres tâches supplémentaires qui nous éloignent encore un peu plus de notre premier objectif : prendre soin de l’Humain, et dans ce cas-ci, de centaines de petits humains en devenir qui sont soir et matin, avant et après une longue journée d’école et qui ont le droit d’être considérés comme des êtres à part entière et pas comme des marchandises.
    On me reprochera peut-être d’atteindre le point Godwin en comparant ces codes et ces prises de présences sans âme à d’autres listes remplies, non pas de noms mais de chiffres qui pourtant étaient des personnes de chair et de sang. Dans les pires heures de notre Histoire, qui aurait pu envoyer froidement au camp Anne, André, Sophie, Sarah, Pascal…? On y a envoyé des numéros, du bétail, et pour l’Humain qui est, qu’il le veuille ou non, un être de symboles, cette anonymisation a permis les pires des dérives. 
    Non, Mesdames, Messieurs, je ne vous accuse pas de nazisme aujourd’hui. J’ose croire que vous n’avez pas conscience de l’impact de vos choix. Pourtant, en tant que représentants de l’État et gestionnaires de leur Éducation, si vous instituez chez nos enfants, dès l’âge de trois ans, un système d’acceptation d’une normalisation bête et méchante, si consciemment vous demandez à chaque marmot dont vous avez la responsabilité de s’identifier chaque jour en tendant un code à une machine ou en portant ce code en permanence sur sa mallette, alors vous décidez ni plus ni moins de dessiner un monde le rôle de l’École est désormais d’habituer nos enfant à être des objets.
    La question n’est plus « Qui es-tu ? » mais « Où est ton QR code? ». Tu ne te définis plus par toi-même, une identité, une filiation. Non, tu possèdes un signe qu’on a choisi pour toi et qui te représente, qui symbolise ton être, ta place dans la société.
  • Venez, mes enfants ! L’école ne vous apprendra plus à communiquer, à vous affirmer, mais elle vous conditionnera déjà à n’être qu’une donnée, similaire aux autres, indissociable à l’œil nu, individuellement facturable mais certainement pas reconnaissable, homogénéisé à l’extrême dès le plus jeune âge.
    Cela vaut-il l’économie ? Cela vaut-il le temps gagné ? Pourrez-vous être fiers, Mesdames, Messieurs, des répercussions de vos actes ? Vous n’êtes pas de simples citoyens qui faites des choix pour leurs propres enfants, pas même des profs qui décident de leur pédagogie, ni des directeurs d’école qui engagent une équipe dans un projet (même si je pense que chacun aurait raison de réagir à son niveau), vous êtes nos représentants et vous avez dans vos mains le quotidien de nos enfants, ce qui les construit jour après jour dans leur manière d’aborder le monde. A quoi cela servira-t-il de les nourrir mieux en favorisant l’alimentation locale dans nos écoles si vous détricotez en parallèle le lien humain qui jalonne leur vie scolaire ? 
    Cela ne correspond pas aux valeurs de l’école que nous avons choisie ni, à mes yeux, à celle d’aucune école digne de ce nom. Je suis habituellement fière de vivre dans une « Slow City » et le pouvoir communal me semble un rempart essentiel pour préserver notre qualité de vie…
    Je vous en prie, Mesdames, Messieurs, réfléchissez avant de mettre en place cet engrenage qui, sous couvert de facilité ne pourra que participer à détruire l’essence me de notre société. Ayez le courage de faire marche arrière même si cela semble difficile. L’enjeu est trop important pour avancer sans réfléchir.
    Merci.
    J. Dall’Arche, maman

Crise économique, sociale, financière, écologique... Panorama. Gaël Giraud


[video censored by youtube and released by Jean-Jacques Crèvecoeur] Futur possible glaçant... : le CovidPass, la nouvelle prison 2.0.


Merci Jean-Jacques...


Si problème de visionnage, voir ici : https://formations.emergences.net/products/chaine-privee-gratuite-de-jjc/categories/3703816/posts/12381814


mardi 22 septembre 2020

Coronagates : le Poucet Silvano Trotta fait réagir le géant YouTube


Manipulation de masse et torture psychologique avec Jean-Jacques Crèvecoeur


Un jeu de pouvoir conscient et inconscient s'installe entre 2 êtres humains (couple) dès lors que s'instille, chez l'un ou chez l'autre, la crainte que ses besoins fondamentaux ne soient pas respectés. Même phénomène au niveau des peuples et de leurs dirigeants.

Manipulation de masse et torture psychologique avec Jean-Jacques Crèvecoeur Quelle est le lien entre la manipulation de masse, la torture psychologique et cette ''pseudo pandémie'' dans laquelle est plongé notre monde? C'est ce que Jean-Jacques Crèvecoeur nous fera découvrir à travers cet entretien riche en échange et en contenu. Bonne écoute ! L'équipe ThéoVox.

Mon Docteur et moi 💊 Episode 02 « Le pouvoir des symptômes »


lundi 21 septembre 2020

Où est passé Silvano Trotta ?

Silvano Trotta interview une femme médecin qui avoue avoir démissionné après que le conseil de l'ordre lui ai demandé de tracer ses patients testés au covid 19. La nouvelle chaîne de Silvano : https://odysee.com/@SilvanoTrotta:f/U...
+  https://www.bitchute.com/channel/j3pBBNUcb2eF/ (Face à Face)

samedi 19 septembre 2020

Michel Onfray - "Le Pr Raoult a mis un uppercut aux médecins qui s'en mettent plein les poches !"


ALUMINIUM, CHAMPS ELECTROMAGNETIQUES et VACCINS

texte ici :  http://data.over-blog-kiwi.com/1/47/73/60/20150413/ob_c92bc7_aluminium-champs-electromagnetiques.pdf
 

Les moteurs de recherche les plus utilisés ne facilitent pas la recherche des articles qui dénoncent les dangers de la vaccination : taper p.ex. "danger vaccins" et voyez les résultats obtenus...  un fait immédiatement observable. 

mardi 15 septembre 2020

Personnes vulnérables Covid-19 : Défendez vos droits devant le Conseil d’État

source : https://www.les-crises.fr/agissez-contre-le-decret-personnes-vulnerables-covid-19/

I. Rappel de la problématique

1/ Depuis le début de l’épidémie, les salariés les plus vulnérables à la Covid-19 ne pouvant pas télétravailler ont été mis au chômage partiel pour les protéger.
Cela a concerné des dizaines de milliers de personnes : diabétiques, cardiaques, dialysés, cancéreux, obèses, atteints de mucoviscidose, salariés très âgés etc.
Afin que ce dispositif soit efficace, leurs conjoints étaient aussi concernés, afin de ne pas les contaminer au retour du travail.
2/ par un décret paru le dimanche 30 août, en pleine reprise de l’épidémie, le nouveau gouvernement a brutalement mis fin au dispositif à effet du mardi 1er septembre.
Sans raison médicale, il n’a conservé le dispositif que pour une part très réduite des personnes vulnérables (cancéreux principalement) , mais sans plus protéger aucun conjoint.
Des centaines de milliers de foyers ont ainsi vu leur vie bouleversée, et vivent depuis dans l’angoisse.
3/ un collectif, Vulnérables sacrifiés, s’est spontanément créé, et a organisé une pétition qui approche les 40 000 signatures – vous pouvez la signer ici.
4/ Comme nous vous l’avons annoncé, nous avons déposé le 11 septembre un recours en Conseil d’État contre la fin de cette procédure de protection de toutes les personnes à risque de forme grave de Covid-19 en activité professionnelle, ainsi que de leurs conjoints. Il sera jugé en urgence d’ici quelques jours.
Nous offrons dans ce billet la possibilité aux personnes concernées par ce décret de dupliquer notre procédure, pour la déposer en votre nom propre.
C’est gratuit, simple et rapide : cela devrait vous prendre seulement 20 à 30 minutes.
P.S. quelques témoignages figurent à la fin du billet. N’hésitez pas à laisser le vôtre en commentaire svp.

II. La procédure qui a été déposée

Tout d’abord, un point de vocabulaire juridique : une demande déposée au Conseil d’État se nomme une requête, et le demandeur est donc appelé requérant.
Nous avons donc déposé deux requêtes en Conseil d’État contre l’abrogation du décret du 5 mai 2020 qui protégeait toutes les personnes à risque de forme grave de Covid-19 en activité professionnelle, ainsi que leurs conjoints (comme expliqué dans ce billet) :
  • le premier est un recours dit « Référé-liberté« , où nous demandons au Juge administratif de suspendre ce décret en urgence, dans l’attente d’une analyse poussée de nos griefs : le jugement interviendra normalement dans les prochains jours. En cas de suspension, l’ancien décret serait automatiquement remis en vigueur, et les personnes seraient de nouveau protégées ;
  • le second est un « Recours pour excès de pouvoir« , où nous demandons au Juge administratif d’annuler ce décret : le jugement interviendra normalement dans les prochaines semaines.
Nous vous offrons ici la possibilité de déposer vos propres requêtes, en vous offrant une version vierge des nôtres, à compléter.
Il ne s’agit donc pas d’un « recours collectif », où vous dépendriez de quelqu’un d’autre (nous, une association, etc.), mais de multiples recours individuels. Vous n’êtes ainsi engagé par personne, et ne dépendez de personne pour défendre vos droits.
Ces recours seront vraisemblablement regroupés et jugés ensemble.
Plus nous serons nombreux, plus le Conseil d’État verra que cette décision affecte vraiment beaucoup de personnes.
Nous vous proposons donc d’user de votre droit de déposer un « Télérecours citoyen » : c’est une procédure très simple, gratuite et ne nécessitant pas d’avocat.
Notez que nous demandons pour chacun des plaignants concerné par le décret 2 000 euros d’indemnisation. Sachez cependant que, sans préjudice ni frais démontré, les juges accordent souvent des sommes assez faibles. En revanche, certaines personnes qui déposeront la requête ont eu des frais d’avocat ou un préjudice direct dû au décret, qu’il faut pouvoir indemniser au besoin, d’où ce montant retenu, qui est le même pour tous les participants.

III. Qui peut déposer un recours ?

Pour pouvoir déposer votre recours, vous devez être concerné par ce décret. Cela concerne 3 grandes catégories de personnes :

2-1/ les personnes dont la situation médicale entre dans une des catégories du décret du 5 mai :

  • Présenter une obésité, c’est-à-dire un indice de masse corporelle (IMC) supérieur à > 30 kg/m². [N.B. Vous pouvez calculer votre IMC sur ce site, mais sachez que cela représente un poids de 87 kilos pour une taille d’1m70, et de 97 kg pour 1m80] ;
  • Avoir des antécédents (ATCD) cardiovasculaires : hypertension artérielle compliquée (avec complications cardiaques, rénales et vasculo-cérébrales), ATCD d’accident vasculaire cérébral ou de coronaropathie, de chirurgie cardiaque, insuffisance cardiaque stade NYHA III ou IV ;
  • Présenter une pathologie chronique respiratoire susceptible de décompenser lors d’une infection virale : (broncho pneumopathie obstructive BPCO, asthme sévère, fibrose pulmonaire, syndrome d’apnées du sommeil, mucoviscidose notamment) ;
  • Etre atteint de cancer évolutif sous traitement (hors hormonothérapie) ;
  • Etre au troisième trimestre de la grossesse ».
  • Etre âgé de 65 ans et plus, et être en activité professionnelle ;
  • Avoir un diabète non équilibré ou présentant des complications ;
  • Présenter une insuffisance rénale chronique dialysée ;
  • Etre atteint d’une immunodépression congénitale ou acquise :
    – médicamenteuse : chimiothérapie anti cancéreuse, traitement immuno-suppresseur, biothérapie et/ou corticothérapie à dose immunosuppressive ;
    – infection à VIH non contrôlée ou avec des CD4 < 200/mm3 ;
    – consécutive à une greffe d’organe solide ou de cellules souches hématopoïétiques ;
    – liée à une hémopathie maligne en cours de traitement ;
  • Etre atteint de cirrhose au stade B du score de Child Pugh au moins ;
  • Présenter un syndrome drépanocytaire majeur ou ayant un antécédent de splénectomie ;

2-2/ les personnes qui cohabitent avec les personnes précédentes

Cela concerne en particulier les conjoints, mais aussi par exemple les enfants hébergés qui travaillent.

2-3/ la famille proche de ces personnes (parents, enfants, frères et sœurs)

Ils devront indiquer qu’ils sont concernés au titre de l’intérêt moral tenant au souhait légitime que leur proche soit protégé d’une menace grave et potentiellement mortelle.

IV. Créez votre recours

Vous avez deux possibilités :
  • le minimum serait pour vous de déposer au plus vite votre propre « Référé-Liberté », pour demander en urgence la suspension du décret ;
  • si vous avez quelques minutes de plus, le mieux serait, en plus de Référé-Liberté, de déposer également votre « Recours en Excès de Pouvoir », pour participer au débat sur le fond du dossier, et d’obtenir l’annulation définitive du décret.
S’il y a dans votre cas deux personnes concernées, typiquement un couple (un des deux étant à risque et l’autre simplement conjoint), nous vous conseillons de déposer par simplicité les requêtes individuellement, personne par personne (donc deux Référés-Libertés individuels, et deux Recours pour Excès de Pouvoir).
La procédure pour déposer votre recours comprend 2 étapes :
  • étape 1 : il faut créer en les personnalisant les documents permettant de saisir le Conseil d’État : nous avons créé une page internet qui va créer vos documents ;
  • étape 2 : il faut ensuite déposer ces documents sur le site du Conseil d’État.
En pratique, pour vous simplifier la tâche et éviter des erreurs, nous avons donc créé une page qui va générer les 4 documents qui vous sont nécessaires :
  1. le document 01-refere-saisie.pdf : c’est votre référé-liberté en pdf ;
  2. le document 02-refere-pieces.pdf : c’est l’annexe de votre référé-liberté en pdf (c’est normal qu’il soit écrit dedans qu’il n’y a pas de pièce jointe à la procédure de référé-liberté, il vaut néanmoins mieux déposer ce document) ;
  3. le document 03-recours-saisie.pdf : c’est votre recours pour excès de pouvoir en pdf ;
  4. le document 04-recours-pieces.pdf : c’est l’annexe de votre recours pour excès de pouvoir en pdf.
Maintenant que les choses sont plus claires pour vous, il vous suffit de vous rendre ici pour obtenir vos documents personnalisés :
Créez votre recours sur cette page
Il n’y a que 3 étapes rapides.
1/ Indiquez votre identité :

2/ Indiquez votre motif à agir :
Votre motif à agir consiste à appartenir à une des catégories précédentes.
Il suffit de l’expliquer ainsi dans la zone dédiée du recours suivant votre situation :
  1. « le requérant est atteint(e) de : XXX » ; remplacez XXX, par la rédaction de votre pathologie comme indiqué au point 2-1 de ce billet (« Obésité, IMC supérieur à 30 », « cancer évolutif sous traitement », …) ;
  2. « le requérant cohabite avec M./Mme YYY, qui est atteint(e) de : XXX ; remplacez XXX, par la rédaction comme indiqué au point 2-1 de ce billet, et YYY par le nom de la personne à risque ;
  3. « le requérant est le/la ZZZ de M. / Mme YYY, qui est atteint(e) de XXX, et est donc concerné(e) au titre de l’intérêt moral tenant au souhait légitime que ce proche soit protégé d’une menace grave et potentiellement mortelle » ; remplacez ZZZ par « père », « mère », « beau-père », « belle-mère », « fils », « fille », …, et YYY par le nom de la personne à risque.

3/ Créez vos fichiers
Il vous faut alors cliquer sur chacun des 4 boutons pour cliquer et télécharger les 4 fichiers. Patientez, cela peut mettre une trentaine de secondes :

Et c’est tout : les 4 fichiers se retrouvent automatiquement dans votre dossier de Téléchargements.
Il ne se passe plus rien ensuite sur cette page, revenez ici lire la suite, pour la seconde partie de la procédure…

V. Déposez votre Recours

5-1 Documents nécessaires

Vous disposez normalement à ce stade des 4 documents pdf précédemment cités.
  • si vous souhaitez seulement déposer un « Référé liberté », vous n’avez besoin que des documents 01 et 02 ;
  • si vous souhaitez déposer un « Référé liberté » et un « Recours pour excès de pouvoir », ce que nous recommandons, vous avez besoin des quatre documents.
Il vous faut enfin un dernier document : le décret attaqué, qui n’est pas personnalisé, et que nous vous fournissons ici : 05-decret-n-2020-1098 (cliquez pour l’avoir).

5-2 Procédure de dépôt

Muni de vos 3 (01…, 02…, 05…) ou 5 (01…, 02…, 03…, 04…, 05…) documents pdf, il vous suffit alors d’aller sur cette page dédiée du site du Conseil d’État :
Déposer un TéléRecours Citoyen au Conseil d’État

5-2-0 Créez votre compte

Il vous faut tout d’abord créer un « compte particulier » :

C’est simple, indiquez votre identité, votre adresse, votre vrai e-mail, un mot de passe très compliqué comme indiqué, et de retaper le code de sécurité affiché à la fin (« Code Captcha »).
C’est terminé, vous allez recevoir un mail pour valider votre adresse :

Il suffit de cliquer sur le bouton bleu « Activez votre compte« :

Il vous suffit alors de vous connecter (en cliquant sous le case verte sur « vous connecter » ou alors ici), n’oubliez pas de cocher « Rester connecté », puis cliquez sur « Je me connecte » :

Sur l’écran d’accueil, cliquez sur « Déposer une nouvelle requête » :

5-2-1 Lisez l’Avertissement

La première étape du dépôt de votre requête est un Avertissement :

Le Conseil d’État vous rappelle qu’il s’agit d’une procédure sérieuse.
Il suffit de cocher les deux cases à la fin :

5-2-2 Indiquez le requérant

La deuxième étape du dépôt de votre requête est l’identification du demandeur (le « requérant « ).
Indiquez « En tant que seul requérant » :

Comme indiqué, si votre conjoint ou vos parents veulent vous appuyer, faite chacun un recours, c’est très rapide comme vous le voyez.
Comme vous êtes seul(e), le site va afficher automatiquement le nom associé à votre compte personnel, que vous venez de créer.

5-2-3 Indiquez la juridiction saisie

La troisième étape du dépôt de votre requête est l’indication de la juridiction saisie.
Nous saisissons donc le Conseil d’État :

Il faut ensuite indiquer la requête. Commençons par le Référé-Liberté ; il faut choisir « Un référé » :

5-2-4 Envoyez vos documents

La quatrième étape du dépôt de votre requête est l’envoi de vos pièces en pdf.
Partie 1 : Pièces obligatoires
Il faut maintenant joindre les documents, en cliquant à chaque fois à droite sur le « + » :

Il vous faut envoyez le document 01-refere-saisie.pdf dans la partie Requête, et le document 05-decret-n-2020-1098-du-29-aout-2020-pris-pour-l-application-de-l-article-20-de-la-loi-n-2020-473-du-25-avril-2020-de-finances-rectificative-pour-2020.pdf dans la partie Acte attaqué :

Partie 2 : Pièces complémentaires
Il faut envoyer le document 02-refere-pieces.pdf, et écrire dans la zone en dessous : « Déclaration d’absence de pièces » :

Et c’est tout ; il vous faut ensuite cocher la case « J’ai bien noté etc », puis cliquer sur « Suivant » :

5-2-5 Validez et envoyez votre requête de Référé-Liberté

La cinquième étape est le récapitulatif et la validation finale
Il suffit de relire le récapitulatif, de cocher les deux cases, et de cliquer sur « Envoyer » :


N’ayez crainte, la formulation est générale, et plus indiquée pour les cas hors Conseil d’État et pour les plaisantins.
Il n’y a aucun frais dans ce genre de procédure, même si on perd, quand on agit de bonne foi en étant concerné par un décret, ce qui est le cas des personnes vulnérables et de leurs proches.
Comme vous êtes concerné par le décret, cette procédure de Référé-Liberté n’est pas abusive, cette procédure de télérecours sans avocat a justement été créée pour ce genre de cas, afin que les citoyens puissent défendre leurs droits fondamentaux.
C’est terminé, votre Référé-Liberté est déposé !

5-2-6 Recommencez pour déposer votre Recours pour Excès de Pouvoir

Il vous reste à déposer le Recours en Excès de Pouvoir ; c’est exactement la même procédure. Simplement à la troisième étape, il vous faut choisir « Une procédure normale« , et non pas « Un référé » :

La quatrième étape devient :
Partie 1 : Pièces obligatoires
Il faut envoyer le document 03-recours-saisie.pdf dans la partie Requête, et le document 05-decret-n-2020-1098-du-29-aout-2020-pris-pour-l-application-de-l-article-20-de-la-loi-n-2020-473-du-25-avril-2020-de-finances-rectificative-pour-2020.pdf dans la partie Acte attaqué :

Partie 2 : Pièces complémentaires
Il faut joindre le document 04-recours-pieces.pdf, et écrire dans la zone en dessous : « Décret n° 2020-1098 » :

Et c’est tout ; il vous faut ensuite cocher la case « J’ai bien nommé mes…« , puis cliquer sur « Suivant » :

La cinquième étape est identique, c’est le récapitulatif et la validation finale, il suffit de cocher les deux cases et de cliquer sur « Envoyer » :


Et voilà, vos deux requêtes sont bien déposées ! Félicitations, vous venez de défendre vos droits. 🙂
Vous avez normalement une confirmation à l’écran avec le numéro de votre recours, un état « envoyé » et la date et leur de votre requête :

Vous recevrez également un mail pour chaque requête.

Comme indiqué, il faut recommencer toute la procédure si votre conjoint ou vos parents veut également faire valoir leurs droits.

L’audience du Référé-Liberté se tiendra normalement la semaine prochaine, il vous faut donc faire vite !

Enfin, nous vous résumons en termes clairs dans ce billet le contentieux lancé ; vous serez probablement intéressé par le rappel des faits qui explique le processus (et les responsables) ayant conduit à l’abrogation du décret :
Covid-19 : Comment le Gouvernement a réduit à néant la protection des personnes vulnérables

P.S. Si vous êtes fonctionnaire, ce décret vous concerne également, vu qu’il sert de base à la circulaire 6208/SG du 1er septembre. En particulier si vous disposez d’une protection juridique, une seconde procédure pourrait être très intéressante à mener, vu que nous n’avons pas pu la lancer, contactez-nous…
P.P.S. Si vous avez des remarques, des questions ou des informations, vous pouvez nous écrire ici (réponse non garantie en fonction du nombre, cependant, mais nous ferons au mieux).

Annexe : Quelques témoignages








Allô Docteur 💊 Episode 01 "Un secret pour vous"


Coronagates : les forces de l'ordre en action sur un marché ardéchois à Privas - création d'un nouveau collectif libertes07.fr


Suite à cet épisode, création d'un nouveau collectif ouvert à tous sur http://libertes07.fr/


vendredi 11 septembre 2020

Jérôme Rodrigues, Alexis Poulin et Alexandra Dupuy


Info en Questions #14 - LIVE


#CPAM #poleemploi #traçage


Covidences 2020

Voici un documentaire exposant les effets secondaires et dommages collatéraux des mesures sanitaires, dont le confinement, sur l'ensemble de la société. Pour contribuer au financement du projet: https://www.facebook.com/donate/62121... Dans cette production d'Appel à la Liberté (action citoyenne pacifique) ACCESSIBLE À TOU(TE)S GRATUITEMENT, 11 femmes courageuses nous offrent leurs confidences et perceptions sur ce qu'elles ont vécues, ainsi que les situations qu'elles ont observées durant le confinement relié aux mesures d'urgence sanitaire. Une production d'Appel à la Liberté (action citoyenne pacifique), réalisée par Val Média. Bon visionnement.